Avec moi il fut très tendre,

Je ne puis le dire autrement ,

Et encore moins le prétendre,

Il était calme et reposant,

Et moi si énervante,

Mais pas terrifiante,

Il partageait en parti mon quotidien,

Et je ne disais rien,

J'essayais d'être calme et sereine,

Car je voyais qu'il avait de la peine,

Tout est allé si vite

Que mes sentiments ne pouvaient pas grandir,

Et que cette relation ne se déroulait suivant les rites,

Mais certains gestes me faisaient rougir,

Mon cœur ne voulait pas battre pour lui,

Et pourtant j'aimais l'avoir à mes côtés,

Il refusait de produire des étincelles,

Comme si j'étais une pierre,

Il a bien fallu que je lui dise,

Question d'honnêteté et de sincérité,

Alors je l'ai fait souffrir,

Il na fallait pas lui mentir,

Je lui ai avoué,

Nous nous sommes séparés ,

J'étais vraiment déçue,

Et lui il ne le montrait,

Il devait cacher son désespoir,

Pour que je ne puisse pas le voir,

D'un seul coup je n'ai plus de sentiments,

Et me voilà au cœur des tourments,

Que vais-je faire maintenant,

Je vais en chercher et je dois carburer ,

Mais comment vais je savoir si j'ai encore

des sentiments,

Je n'e suis plus très fier maintenant ……………..

On me dit de vous oublier,

Oui certes c'est facile à dire ,

Mais je ne cesse que d'y penser ,

Je ressasse toujours les mêmes idées,

Au lieu de me réconforter,

Vous m'enfoncez ,

Je ne vois plus d'espoir,

Et je broie que du noir,

Avant j'aimais la couleurs,

Mais depuis ce malheur,

Et en plus je ne vaux rien,

Je le sais bien,

Mais vous êtes mieux placés ,

Que moi pour le savoir,

Tout est fini,

Eh! bien tant pis,

Vous voulez me détruire,

Allez y vous êtes sur le bon chemin ,

Mais vous risquez de tomber,

Sur une ruine ,

J'imagine que ça vous fera plaisir,

Et puis c'est la vie ,

Mais vous feriez mieux d'ouvrir vos yeux,

Parce que là ils sont fermés ,

Et vous croyez que c'est mieux ?

Remarquez c'est peut-être merveilleux,

Mais je vais vous demander ,

Pouvez vous vous taire,

Je pense que c'est le mieux que vous puissiez

faire,

Parce que vous en faites bien des manières ,

Mais peut-être que demain sera un jour clair ,

Je serai satisfaite mais je rêve ………..

De suite j'ai compris,

Que la vie s'écoule et je ne dois rien dire ,

Je suis seule et je suis incomprise,

Mais j'ai le droit de crier ,

Chaque matin je me réveille ,

Quand je peux dormir,

Car souvent la nuit des idées se révèlent ,

Alors je laisse mon sommeil en veille ,

Et je me lève ,

Car après mes pensées s'envolent ,

Et je dois admettre de le faire de suite,

C'est vraiment sublimissime,

Et c'est toute l'histoire de ma vie qui défile,

Et je pressens que je dois l'écrire vite,

Et je sens ce poids qui me pèse ,

Et c'est toute ma misère ,

Et c'était ma mère ,

Finalement je trie ,

Et je fais de la place pour la vie qui me reste ,

Je dois encore survivre ,

Je ne vais pas me mettre en colère ,

Mais je réalise quelle avait une vie triste ,

Et ça personne ne va me le dire ,

Mais elle le cachait ,

Et moi je le voyais ,

Mais ce n'est pas risible,

Car elle devait mener une vie difficile ………...

À vrai dire je ne sais plus où j'en suis,

Je viens de perdre le sens de l'équilibre ,

Je tourne en rond ,

Et toute ceci sans raisons ,

Je t'avais prévenu que si tu étais méchant,

Je vais pas en subir les conséquences,

Et voila la suite cette souffrance,

Et quand même bien apparente ,

C'est ce que disent les gens en occurrence ,

Et toutes ces paroles en outrances,

Je ne peux vivre dans cette condition,

J'espère que tu comprends ma raison ,

Et avoir encore une relation,

De la sorte il en est pas question,

J'aimerais vivre seule à la maison ,

Sans aucune menace de toute façon,

Pourtant tu avais fait cette promesse,

De ne plus recommencer,

Et maintenant que je suis en détresse ,

Tu veux tout oublier ,

Tu ne fais que de me mentir ,

Et tu sais que ça me fait souffrir ,

Et tu me dis tant pis,

Je ne veux plus nier mes sentiments,

Et ensuite toujours attendre ,

J'ai le droit de respirer et de te dénoncer sûrement,

Là tu ne vas rien prétendre ,

Je me réserve à ce sujet aussi longtemps ,

Je préserve mon avenir qui ne va dépendre ,

De tes exploits je m'en balance ,

Ce n'est pas un incident ,

Quand mon orage succombe,

Je ne suis plus ta colombe,

Celle qui t'apportait la paix ,

Maintenant elle c'est envolée ,

Vers un pays que je ne vais pas citer ,

Et tu sais je ne vais pas pleurer ,

Mais plutôt je vais en rigoler ………..

Mais toute ces personnes qui sont si différentes,

Ne crois tu pas que pour moi c'est troublant,

Et cette larme qui coule c'est choquant,

Et tu ne cherches pas vraiment,

À savoir le pourquoi du comment ,

C'est du chagrin en permanence,

De l'angoisse de l'anxiété c'est énervant,

Mais certaines personnes le font c'est pour se libérer ,

Du mal être qui est en eux c'est dramatique ,

Et toi tu trouves tout ça normal  c'est tragique ,

Moi je trouve que tu joues le rôle de l'indifférence ,

Tout ce qui compte à tes yeux c'est ton bonheur,

Mais tu n'es pas humain ,

Tu ne vois donc pas ce malheur ?

C'est vraiment que tu n'y attaches aucune importance ,

Non finalement ça ne te touches guère vraiment,

J'ai bien du mal à te comprendre !

J'ai besoin de suivre des cours pour apprendre ,

Car au quotidien la souffrance ,

Et ne parlons pas de tes absences ,

Pour moi c'est révoltant

Il m'en a fallu du temps pour réagir maintenant ,

Et puis ça n'a aucune importance ,

De toute façon je  n'ai pas de compte à te rendre,

J'observe et silence c'est décevant ……...